Biodiversité et climat, un projet pour sensibiliser face à la pollution et au réchauffement climatique
mercredi 13 février 2013
GDF SUEZ / IFREMER : Expédition Fleur Australe
Désireux de mettre leur expérience et leur passion de la mer au service de la protection de la planète et des océans, Philippe Poupon et Géraldine Danon se sont donné pour mission première de contribuer à la réalisation d’un état des lieux de la santé des océans, de sa faune et de sa flore.
L'IFREMER, l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer, partenaire de l'expédition, collecte des données précieuses comme la température ou la salinité de l'eau de mer grâce aux capteurs placés sur la coque du bateau, ce qui participe à une meilleure compréhension du fonctionnement de l'océan et de son rôle sur le climat.L'expédition Fleur Australe va permettre à l'Ifremer, grâce à des capteurs embarqués, de recueillir des données sur la température et la salinité de l'eau de mer en surface dans les zones traversées. Ces données, transmises à un centre spécialisé, permettent de suivre l'état de la surface océanique, de valider les mesures du satellite SMOS et de contraindre les modèles de circulation océanique afin d'analyser, à tout moment, l'état du milieu marin et prédire son évolution.
L'expédition Fleur Australe vise également à sensibiliser tous les publics aux effets de la pollution et du réchauffement climatique sur la fragilisation de l'environnement : fonte des glaces, désalinisation des océans… Elle va également permettre à l'Ifremer, grâce à des capteurs embarqués, de recueillir des données sur la température et la salinité de l'eau de mer en surface dans les zones traversées. Ces données, transmises à un centre spécialisé, permettent de suivre l'état de la surface océanique, de valider les mesures du satellite SMOS et de contraindre les modèles de circulation océanique afin d'analyser, à tout moment, l'état du milieu marin et prédire son évolution. Expédition à vocation pédagogique, Fleur Australe est un témoignage en temps réel des conséquences du comportement humain sur les océans et le littoral. Cette approche lui a valu d'intégrer le Club des Explorateurs du Grenelle de la Mer, créé par le Ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement Durable et de la Mer.
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