Les témoignages des clubs d'investissement
Le fonctionnement des clubs d'investissement est multiple ; les expériences des clubistes varient selon leur profil et leur expérience, aussi, n'y a-t-il pas de plus belle manière de les connaitre que de lire leurs témoignages.
Des présidents de clubs nous font part des raisons qui les ont amené à créer un club d'investissement. Yves Terrin Pour lire la suite, cliquez ici.Ce passionné de Bourse a réussi à optimiser son portefeuille en diversifiant ses expositions et en surfant sur des tendances de marché avec des produits baissiers ou à levier. Il agit rarement sans avoir une conviction profonde. Roger Bauer La Fédération reçoit régulièrement des courriers d'actionnaires individuels qui s'inquiètent du manque d'intérêt des pouvoirs publics pour le produit Action et les Actionnaires Individuels. Nous publions aujourd'hui le courrier de M. Robert BAUER, un actionnaire de Strasbourg. Pour lire la suite, cliquez ici. Paul Roger, président du club Le Galop Boursier, à Chantilly Retraité, je cherchais à utiliser efficacement mon temps libre. C'est ainsi qu'avec une douzaine d'amis dans le même cas, nous avons décidé de créer un club. Après quelques mois, nous étions 20 membres. Ayant déjà participé à deux clubs et j'en connaissais le fonctionnement. Anciens cadres ou chefs d'entreprises, nous avions tous eu à exercer des responsabilités et à côtoyer de près la vie économique. Quoi de mieux pour rester actif et profiter de nos anciennes fonctions que de créer un club et de faire fructifier quelques économies. Toutefois, l'objectif premier était de se retrouver entre nous le plus souvent possible avec une occupation saine. Se retrouver au club, c'était partager la convivialité, l'amitié, s'informer, réfléchir sur des sujets socio politico-économiques et, pourquoi pas, essayer de gagner un peu d'argent. Philippe CAMMAN, président de TCA Investissements, à Montpellier Nous avons créé TCA à cinq en mars 2006. Quatre nouveaux membres nous ont rejoint ensuite afin d'enrichir notre domaine de compétences. Notre objectif était – et reste – le mariage de la performance économique et de l'éthique. Nous ciblons les sociétés qui respectent les principes sociaux et environnementaux et investissons essentiellement dans les « valeurs vertes » : énergies renouvelables, recyclage, traitement de l'eau, éco-industrie… Au-delà des effets de mode, l'investissement socialement responsable (ISR) et le développement durable sont des valeurs essentielles pour chaque membre de TCA et nous œuvrons tous dans ce sens au quotidien. Francois Gauthier, président du club Le Castillet, à Perpignan Notre philosophie est double : apprendre les techniques boursières, étudier les sociétés cotées et développer nos connaissances financières, tout en dégageant de la performance. Le club est avant tout un outil pédagogique permettant d'apprendre la Bourse en groupe et de transmettre des connaissances. Dans notre pays, la culture boursière est quasiment inexistante. La Bourse y est souvent mal connue et les gains boursiers sont vécus comme malsains alors qu'ils sont le fruit d'un véritable travail. Lorsque je faisais des conférences métiers sur la géologie et l'archéologie dans les lycées, j'ai souvent constaté qu'il y avait un vrai blocage des jeunes sur la Bourse. C'est pourquoi, j'ai décidé d'associer des étudiants en école de gestion aux réunions mensuelles de notre club. Comme ils n'ont pas les moyens financiers d'intégrer le club, j'ai imaginé la solution intermédiaire du stagiaire : ils participent aux réunions, surveillent des valeurs ou des certificats et s'initient parfois au moyen d'un portefeuille virtuel. Notre club contribue ainsi à la diffusion de la culture boursière auprès des jeunes. Serge Launay, président du club CAC 9500, à Aubervilliers Nous en sommes à notre cinquième club depuis 1979. L'un d'entre-nous a même commencé dès 1973. Mais CAC 9500 a été créé après la dissolution du précédent – Maxihau – au bout de 10 ans, durant l'été 2004. On était très content de l'expérience. On s'était plutôt bien débrouillé pendant la hausse et on a bien limité les dégâts après 2000. Il est vrai que l'on avait vu d'autres. Lors du krach d'octobre 1987, notre club de l'époque avait déjà quatre ans d'ancienneté. Le coup a été si rude, que la valeur de la part est tombée pratiquement à zéro. On n'a pas été découragés pour autant. D'une certaine manière, c'est quand le marché baisse que l'on apprend le plus les techniques boursières. Résultat : on a clôturé Maxihau avec une progression de 50 % de la part et un portefeuille de 158 000 euros. En 2005, nous avons redémarré à zéro avec toujours le même plaisir.
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